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| | Voulez-vous coucher avec moi, ce soir? | |
Ma mère ne disait vraiment que des conneries. Au plus on avance dans l'été, au plus les hormones s'affolent. Et là, le pseudo-amour montre son vrai visage : le sexe. Oh, ça y est, j'en ai déjà perdu certains. Mais ouvrez les yeux, l'amour n'est qu'une histoire de sexe qu'on idéalise. Et les élèves de Columbia, même derrière leur masque, ne tardent pas à dévoiler cette vérité.
Enfin, je parle des élèves, mais à Columbia ils ne sont pas les seuls à goûter aux plaisirs de la vie. Attention, révélation : les profs sont humains! Et ils font des erreurs! Oh oui, de belles erreurs. Le genre d'erreurs qui, si elles se savaient, seraient très délicates à gérer. Je suis peut-être sans scrupules, mais pas fou. Je ne dévoilerai donc aucun nom à travers cet article. Bon, je le fais aussi parce que s'il y a bien une chose que j'aime, c'est quand tout le monde se met à faire ses propres hypothèses. Et je suis sûre que certains ne se gêneront pas pour proposer des noms à mes personnages.
Mais je commencerai par deux personnes que je peux citer, vu qu'elles se sont déjà retrouvées dans mes pages. Je parle de Matthew Livingston. Votre Majesté, ça faisait un bail!! Saviez-vous que la dulcinée de Matthew avait déserté le campus plus ou moins? Oui, vous le savez. En fait, il semblerait qu'elle évitait soigneusement son petit ami. C'est bête, pour une femme qui porte son enfant! Regretterait-elle ses actes? Il serait temps, mais avec cette ingénue on ne peut pas prévoir une décision raisonnable. Bref, toujours est-il qu'elle s'est malencontreusement retrouvée face à face avec son petit ami (ex, actuel, indéfini, la situation ne permet pas de trancher). S'ensuivit une discussion ennuyeuse sur le nom du bébé. Et devinez quoi? On trouve un joli prénom pour le môme, mais on trouve pas de solution pour le couple! Et un bébé sans parents, un! Comme quoi, c'était probablement une grande histoire d'amour entre eux...
Venons-en donc à nos histoires sans noms. La première concerne une vieille histoire que les deux protagonistes auraient préféré enterrer et oublier. Sachez donc qu'un professeur, et pas n'importe lequel, a couché avec une élève! Bien qu'en ce temps elle n'était pas une élève, mais une jeune femme pleine de fraicheur, dans la fleur de l'âge et dans les délires de l'alcool. Il paraît qu'elle a bien changé depuis, d'ailleurs. Lui pas vraiment. Alors, me direz-vous, quel intérêt? Aucun, comme tout ce que j'écris, vous dira Jay Lewis. Pour ma part, je vous répondrai : le pouvoir. Non, pas celui que j'ai en détenant les informations. Celui qu'a désormais l'élève. Ruiner la carrière d'un homme en deux phrases. Et un procès même si elle veut. Lui doit trembler en son for intérieur, elle doit se délecter de la sensation de supériorité qu'elle détient. Et comme vous, je n'attends qu'une chose : que l'affaire éclate. Vu l'instabilité psychologique de la demoiselle, ça ne devrait pas tarder. Oh ce sera passionnant, vous verrez!
La deuxième histoire est encore plus intéressante. Parce qu'elle ne date pas de plusieurs années. Mais de quelques semaines. Pas de coucherie, non. Mais presque. Enfin c'était bien parti pour quand je suis passé devant la salle des profs. J'ai préféré ne pas m'attarder, je n'avais rien à faire là à cette heure. Mais la scène était charmante. D'abord une belle déclaration d'amour de la part de l'élève, puis le professeur qui avoue son attirance physique pour ledit élève. Et pour couronner le tout, un baiser! Si j'avais été scénariste j'aurais directement piqué l'idée pour mon film. Au moment où je m'éloignais, j'entendais la porte se verrouiller. A vous d'imaginer la suite. Les filles, rangez ces mouchoirs, ce n'est pas une belle histoire de sentiments. Juste d'attirance. Et de sexe. Une relation prof-élève? Seulement dans les bouquins. Ils passeront la nuit ensemble, et ensuite feront comme s'il ne s'était rien passé. Puis l'élève balancera son amant pour une pacotille, et ce sera aussi passionnant que l'histoire d'au-dessus! Oh, soit dit en passant, les deux protagonistes sont de sexe masculin. Et n'assument clairement pas leurs penchants. Ca ajoute de l'intérêt à l'histoire, non? Jay, j'ai compris, non ça n'en rajoute pas pour toi. Je posais la question aux autres.
Trois histoires de sexe, comme on en voit tous les jours. Et vous osez enduire tout ça du ciment de l'amour? Hypocrites. Au moins, il y en a deux qui ne se sont pas fait d'illusion. Sinon, pour savoir comment gérer la dure réalité de « l'amour n'existe pas, seul existe le sexe », allez demander conseil à Miller fils. Il a toujours été très doué pour le sexe, et il est pitoyable en amour. Quoique... c'était comment Paris, Joshua? Parce qu'à voir ta blonde, c'était pas le paradis. Une panne? |
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Ven 5 Aoû - 20:20 par Invité